Un journaliste et un photographe du journal "Le parisien" se sont déplacés à mon atelier de Colombes afin de m'interviewer sur mon activité de décorateur mais évidement aussi sur mon métier de tapissier d'ameublement et de restaurateur de mobilier ancien et de formateur.
L'article du Parisien :

C’est l’effervescence dans l’atelier de Valérie Pizzi, restauratrice en mobilier installée à Colombes.
Cinq mois seulement après la création de son entreprise, cette artisane de 36 ans a un carnet de commandes rempli jusqu’en septembre, un site visité par plus de 300 internautes par jour et des cours pour les particuliers qui ne désemplissent pas.


Cet envol rapide, elle le doit bien sûr à son professionnalisme mais aussi au régime de l’autoentrepreneur.
« J’ai entendu parler de ce nouveau statut lors d’un stage de gestion », explique cette ancienne responsable commerciale reconvertie en 2005 après un licenciement économique. « Ce statut m’a permis au départ de travailler à mon domicile en attendant d’avoir un chiffre d’affaires suffisant pour trouver un local. »
Grâce à l’absence de formalités et à une comptabilité simplifiée, elle a pu dégager du temps pour créer son site, communiquer, chercher des clients et travailler… « Tout cela n’aurait pas été possible avec le régime classique. Au bout de trois mois, l’Urssaf m’aurait demandé des comptes même si aucun chiffre d’affaires n’avait encore été généré. Et un tiers de mon temps aurait été dévoré par la paperasserie. Là, j’ai pu me consacrer à fond au lancement de mon entreprise. »
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